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Lecture avec Jean-Claude Dubois

Lecture-rencontre avec le poète Jean-Claude Dubois

Mercredi 4 juin à 18h00

Salle Gilbert-Gaillard
2, rue Saint-Pierre
63 000 Clermont-Ferrand

Entrée libre

La Semaine de la poésie et la salle d'exposition Gilbert-Gaillard s’associent et convient le poète Jean-Claude Dubois pour une lecture en résonance avec le travail plastique d'Anthony Duranthon actuellement exposé avec les artistes Léa Bouttier et Marina Guyot, résidants des Ateliers d'artiste BAINS D'HUILE.


 

 

Jean-Claude Dubois est né en 1954 dans le Nord. Il fut Directeur Général des Services de la ville de Tourcoing.
Son œuvre poétique est publiée chez Cheyne éditeur dont il codirige avec Jean-François Manier la collection Verte depuis 2014. 

Ses publications :

  • Une chose pour quoi je suis né (2019)
  • Les Petits Malheurs (2017)
  • Leurs adorables : Chopin, Bach, Schubert (2007)
  • Le canal (1999)
  • L'épine et sa mésange (1993)
  • Le bois d'absence (1988)

Il est également l'auteur de Le silence parle ma langue, une présentation critique de vingt-quatre poètes du Nord-Pas-de-Calais" (Ed. Rétro-viseur, 1998).

Une chose pour quoi je suis né, photographies, vraies fictions et semi-vérités :

Ce recueil est paru chez Cheyne éditeur en 2019. Les photos qui accompagnent le texte sont en réalité des créations de Jean-Marie Perrot, des cyanotypes où se glisse la lumière dans des nuances de bleu de Prusse et de blanc. Incertitudes d’une mémoire un instant fixée par les sels ferriques. L’effacement et l’oubli guettent.

C’est dans le fou d’Elsa d’Aragon que l'on retrouve le vers « Une chose pour quoi je suis né », interrogation à laquelle Jean-Claude Dubois tente de répondre en examinant vingt-et-une photographies résumant plus ou moins son existence, et ce en trois autoportraits et autant d’albums comprenant l’enfance, la maturité, puis la vieillesse.

Un recueil en prose empreint d’une extrême pudeur, dévoilant pourtant l’intime de l’auteur, de son enfance à aujourd’hui où se mêlent souvenirs heureux, hontes et colères, quelques deuils et pourtant un désir de vie ardent, résistant à toutes les épreuves en chemin, auprès des siens.

La mémoire ne dort jamais, une exposition d'Anthony Duranthon :

­Anthony Duranthon cherche des visages, les suit, les capte, les transforme. Il plonge dans les archives, fouille les tiroirs de la mémoire, les siennes comme celles des autres. Il en extrait des fragments, des bouts d’histoires oubliées qu’il refaçonne à l’encre, au cyanotype et en peinture. En altérant les images, il les creuse et les réinvente. Un visage devient une trace, une silhouette une ombre. Entre l’intime et l’Histoire, entre l’effacement et la persistance, la mémoire ne dort jamais. 

Né en 1984 à Clermont-Ferrand, Anthony Duranthon est diplômé de l’École supérieure d’art de Clermont métropole en 2009. Il complète son parcours avec un diplôme universitaire en art-thérapie à Grenoble en 2011. Il expose son travail au musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne, au centre d’art du Creux de l’enfer à Thiers et à Vitry dans le cadre du prix international de peinture Novembre. En 2011, l’une de ses oeuvres rejoint la collection du musée d’Art Roger-Quilliot. Il multiplie également les résidences : au Shakers à Montluçon, en Pologne, à Regensburg et en Ukraine, suivie d’une exposition au musée national de Lviv.

 

Les ateliers-logements BAINS D'HUILE :

Dans le cadre d’un partenariat avec le bailleur social, l’Ophis, la Ville de Clermont-Ferrand s'est dotée en 2014 de trois ateliers-logements sur le site d’un ancien garage automobile, 18 rue de l’Oratoire, à Clermont-Ferrand.

Destinés aux artistes plasticiens en voie de professionnalisation, trois artistes intègrent les trois ateliers-logements pour une durée de trois ans, bénéficiant ainsi de conditions propices de travail et de vie. La dernière année, une exposition collective vient clore ce temps de recherche et de création et leur offre la possibilité de présenter leur travail à la Salle Gilbert-Gaillard.
 

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