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Publié le: 02/07/2015 - 16:28

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Poème aléatoire

Ou ruisseaux comme vous, aller pas droit je pense,
parfois, ce serait bien dans la menthe en faisant semblant
de dormir pour mieux voir le rose d’une bête,
son nez sur l’eau qui boit, et les trous noirs
tremblant parce qu’une libellule ou un oiseau
sur une herbe se pose, ou, tout près, un remous
quelque chose qui bouge et, comme près d’ici,
habite le courant quand il fait chaud,
ou peut-être si la pluie, les mouches sur les bouses
près du taureau épais et ses bourses qui croulent
quand ses yeux baissent, et le soir,
avec les ombres l’herbe qui sent l’odeur
pas tout à fait des bêtes, et le blanc sale
des ombelles ouvertes ou pas complètement
– quand on tape dedans les graines, très vite,
font comme une fumée ou le vent, c’est pareil.
Ce serait bien, toujours, mais parfois une bête
pose sur l’eau son mufle – et c’est presque fini.

Extrait de
Aumailles, Les découvreurs, 2016
par Pascal COMMÈRE

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