Présentation des poètes Sofia Queiros et Léon Bralda

Présentation de la poète bulgare Aksinia Mihaylova
Projection du film L'institutrice précédée d'une lecture de poèmes mardi 17/01
En Iran, la jeunesse se révolte et affirme sa volonté de liberté...
Les poètes n’hibernent pas, un événement de la fédération MaiPo, la fédération des
Pages
Poème aléatoire
Nous ressemblons à ce qui fait monde, et non demeure.
Un lac, une main sont chapelles à nous recueillir, à res-
pirer la certitude, lieux et doigts dénoués noués dans la
rencontre de quelqu’un ou quelque chose.
Les eaux percent une clarté au creux d’abîmes qui
fondent la vie. L’amour s’y concentre et remonte veine
à veine, comme en convoi les collines, pour déployer la
part de l’être et de la terre au tremblé de la beauté.
De mineur en majeur le printemps mêle les réalités
sans effort. Dehors le monde, dedans un lac, une main
dans la captation nous promet demeure habitée.